radicaux libres

Propriétés antioxydantes du métabolite de la mélatonine N1-acétyl-5-méthoxykynuramine (AMK): piégeage des radicaux libres et prévention de la destruction des protéines.

Dans de nombreux systèmes expérimentaux, la neurohormone mélatonine s’est révélée protectrice contre le stress oxydatif, un effet qui semble être le résultat d’une combinaison de différentes actions. Dans cette étude, nous avons examiné la contribution possible des kynuramines substituées, formées à partir de la mélatonine par clivage de l’anneau pyrrole, au piégeage des radicaux.

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Une molécule, de nombreux dérivés: une interaction sans fin de la mélatonine avec les espèces réactives de l’oxygène et de l’azote?

La mélatonine est une molécule très conservée. Sa présence remonte à d’anciens procaryotes photosynthétiques. Une fonction primitive et primaire de la mélatonine est qu’elle agit comme un piégeur de radicaux libres indépendant des récepteurs et comme un antioxydant à large spectre.

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Effets bénéfiques de la mélatonine sur les maladies cardiovasculaires.

Les données expérimentales obtenues à la fois chez l’homme et chez les rongeurs suggèrent que la mélatonine pourrait être utile dans le traitement de plusieurs affections cardiovasculaires. En particulier, l’utilisation de la mélatonine pour réduire la sévérité de l’hypertension essentielle devrait être plus largement considérée. Dans les études sur les rongeurs, la mélatonine s’est révélée très efficace pour limiter les anomalies de la physiologie cardiaque et la perte de tissus cardiaques critiques résultant d’une lésion d’ischémie/reperfusion.

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Mélatonine: action en tant qu’antioxydant et applications potentielles dans les maladies humaines et le vieillissement.

Cette revue vise à décrire les propriétés bénéfiques de la mélatonine liées à ses effets antioxydants. Le stress oxydatif, c’est-à-dire un déséquilibre entre la production d’espèces réactives de l’oxygène et les défenses antioxydantes, est impliqué dans plusieurs conditions pathologiques telles que les maladies cardiovasculaires ou neurologiques, et dans le vieillissement. C’est pourquoi la recherche sur les antioxydants s’est développée. Cependant, les antioxydants classiques ne parviennent pas toujours à produire des effets bénéfiques, en particulier dans les maladies métaboliques.

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La mélatonine: une molécule multitâche.

La mélatonine (N-acétyl-5-méthoxytryptamine) s’est révélée être une molécule omniprésente et fonctionnellement diversifiée. Les mécanismes qui contrôlent sa synthèse dans la glande pinéale ont été bien caractérisés et les processus de l’horloge rétinienne et biologique qui modulent la production circadienne de mélatonine dans la glande pinéale sont en train d’être rapidement élucidés.

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La mélatonine en tant qu’antioxydant: des promesses insuffisantes, mais des résultats insuffisants.

La mélatonine est exceptionnellement efficace pour réduire le stress oxydatif dans un nombre remarquablement élevé de circonstances. Elle exerce cette action par divers moyens : détoxification directe des espèces réactives de l’oxygène et de l’azote et indirectement en stimulant les enzymes antioxydantes tout en supprimant l’activité des enzymes pro-oxydantes.

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La mélatonine, un agent anticancéreux à part entière: Inhibition de l’initiation, de la progression et de la métastase.

Il existe des preuves très crédibles que la mélatonine atténue le cancer dans les phases d’initiation, de progression et de métastase. Dans de nombreux cas, les mécanismes moléculaires qui sous-tendent ces actions inhibitrices ont été proposés. Cependant, le grand nombre de processus par lesquels la mélatonine freinerait le développement et la croissance du cancer laisse plutôt perplexe.

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